« Personne ne nous attend, si on désire raconter des histoires en image, il faut faire ! »
Ce laïus est devenu un mot d’ordre pour Chloé, ainsi elle s’est mise à toucher à tout, et avec curiosité et passion.
En accompagnant des réalisateurs en tant que chef opératrice, Chloé s’est familiarisée avec les techniques du récit.
Du cinéma d’auteur de Jean Charles Hue (La BM du Seigneur, 2010), en passant par le cinéma fantastique de Talal Selhami (Achoura, 2020), jusqu’au cinéma subversif et engagé de Antony Hickling (Where Horses Go To Die, 2016), le cinéma que fait Chloé Robert est hétéroclite et lui ressemble.
Depuis quelques années, Chloé est passée également de l’autre côté du miroir en se formant à l’étalonnage dans des labos de post production, d’abord sur Baselight puis sur Resolve.
Aujourd’hui c’est principalement grâce à ces outils qu’elle continue de participer à la création d’histoires de lieux, de personnages, pour faire résonner la lumière composée sur le plateau par-delà les différents supports de diffusion.